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Brochettes de kefta vegan, et petit épeautre aux aubergines grillées

15.70 

Les kefta sont traditionnellement préparées avec de la viande d’agneau, même s’il existe de nombreuses recettes avec du poisson par exemple.

Nous avons bien entendu choisi de vous proposer des kefta vegan réalisées, avec des protéines de soja texturées, donc très riches en protéines et parfaitement adaptées à cette recette, par ailleurs.

Quand mon amie Laurence m’a parlé de ses polpettes, petites boulettes de viande cuisinée à l’ italienne, il m’est venu une envie terrible de manger des Kefta, ces fameuses petites boulettes orientales à la menthe. Mais comment je ne mange plus de viande et Laurence m’avait mis l’eau à la bouche, donc, il me fallait trouver une alternative afin d’assouvir ce désir en créant une astuce pour retrouver la consistance, la forme et le goût.

Et voilà, le tour est joué !! Voici mes délicieuses et savoureuses Kefta vegan aux parfums envoûtants grâce au cumin et à la menthe fraîche.

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Le Petit épeautre : il est riche en protéines

Il contient les 8 acides aminés (ces composants des protéines) essentiels à l’organisme : tryptophane, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, valine, leucine et isoleucine. Et si les protéines animales les réunissent tous les huit, ce n’est pas le cas des protéines végétales. Ainsi, les céréales sont généralement pauvres en lysine quand les légumineuses le sont en méthionine, ce qui explique qu’il faut combiner les deux dans un régime végétarien pour éviter certaines carences. Mais le petit épeautre, lui, fait partie des rares céréales à les associer. Un atout de choix pour les véganes.
Petit épeautre : il nous aide à faire le plein de minéraux et vitamines

Dans 100 g de petit épeautre, on trouve 120 mg de magnésium, 440 mg de phosphore (soit la moitié de nos besoins quotidiens) et 100 mg de calcium. Or, le magnésium est un antistress, le phosphore participe à notre activité cérébrale et le calcium à notre métabolisme osseux. Il contient aussi des quantités non négligeables de vitamines, en particulier celles du groupe B, mais aussi la vitamine E.
Petit épeautre : il lutte contre le vieillissement

Il est riche en caroténoïdes (qui lui donnent sa couleur légèrement orangée), mais aussi en lutéine, un pigment qui protège notre vision et dont la consommation est recommandée dans la prévention de la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge). Il contient aussi d’autres éléments aux propriétés antioxydantes, permettant de lutter contre les radicaux libres, parmi eux, le fer et le zinc.
Petit épeautre : il nous aide à digérer

Très riche en fibres (10,3 g pour 100 g), le petit épeautre facilite le transit intestinal, mais aussi la sensation de satiété. Attention cependant, il faut éviter de le consommer sans le cuire, car il devient alors bien moins digeste.
Petit épeautre : il est pauvre en gluten

La teneur en gluten du petit épeautre est d’environ 7 %. C’est un atout pour les personnes hypersensibles, qui souhaitent éviter les désagréments associés à la consommation de gluten, d’autant plus que, n’ayant que peu changé au fil des siècles, celui qu’il contient est mieux assimilé que celui du blé. On ne peut toutefois pas le conseiller en cas de maladie cœliaque. L’inconvénient de cette faible teneur en gluten est que la farine de petit épeautre a tendance à moins lever (dans les pains ou les gâteaux) que celle de la farine de blé.
Petit épeautre : il n’a pas subi de modification génétique

Le petit épeautre, de son nom latin Triticum monococcum, et aussi appelé “engrain”, est une céréale de la famille des graminées et parmi les premières cultivées par l’homme, il y a environ 10 000 ans. Depuis, et contrairement aux autres céréales, il n’a pas subi de modification génétique.